Ecrire, pour ecrire

« Les paroles s’envolent et les écrits reste »
Je ne sais plus si c’est exactement comme cela que c’est dit. Ni non plus qui exactement l’aurais écrit.  Mais c’est pour cela qu’au lieu de me servir de ma voix, je me sers de ma main. Pour cela que je pose mes mots sur papier.  Du moins, pour le moment.

J’écris pour lui, pour elle, pour moi ou encore pour quiconque posera le regard sur ces symboles étranges que l’on nomme « alphabet »,  « lettre », « mots », « phrase ». J’écris parce que je le veux, mais aussi parce que j’en ressens le besoin.
Je voudrais écrire sur l’amour, sur ce sentiment étrange qui m’habite et qui se promène dans les cœurs de plusieurs personnes. Mais, peut importe ce que j’y écrirais, on l’aurait déjà dit, déjà exprimer d’une manière peut-être plus  belles que mes mots.

Je voudrais poser mes lettres de manière a réconforté une amie qui en a besoin. Une amie loin de moi qui est inaccessible pour le moment. Je voudrais assembler les mots d’une telle manière qu’elle ne pourrais que se sentir mieux, mais les mots me manque ou s’évapore, manquant de consolation, parce que de ce coté, moi-même je n’ai toujours pas trouvé la paix.

Alors j’écris pour écrire. J’écris pour dire.  J’écris des mots vides de sens. Des mots qui résonnent remplis d’écho de ce qu’ils devraient contenir. Parce que je ne mets pas le cœur, l’esprit a les faire résonner, vibré de ce sens lourds qu’ils méritent. J’écris pour que le, la, lecteur (trice) y appose ses propres émotions en suivant la coulé des mots. Qu’il lise vite….. Qu’il lise à voix haute…. Qu’il lise dans sa tête. C’est à vous, lecteurs, lectrices, de charger ces mots dans le sens que vous souhaitez qu’ils soient. Pour vous, je me contente de les aligner, de les agencé, de les faires danser sous vos yeux afin qu’ils prennent le rythme que vous le voulez, qu’ils prennent vie par vous.